Lundi 26 mai 2008 à 20:17

Enervée? Moi? Lui, il va se faire tuer s'il dit/fait rien très vite. Il s'en fout, et je devrais m'en foutre, mais je suis bête et j'attends encore qu'il soit gentil et qu'il sorte de ses 7 mois de... de rien du tout tiens. Les gens... Je les comprends pas.

PUTAIN LA CONFIANCE RÈGNE!!

Jeudi 8 mai 2008 à 0:06

J'ai acheté La Provence et La Marseillaise, et ai lu ce qui m'intéressait le plus, ce pour quoi je les ai acheté en fait, c'est à dire les articles sur les manifestations lycéennes d'hier et les blocus. Passons sur les détails des articles (même s'il y aurait des choses à dire...), et dans La Provence ils proposent deux points de vue de lycéens. Différents bien sûr sinon y'a aucun intérêt. Le monsieur qui dit qu'il est contre toutes ces manifestations, et les qualifie d'ailleurs de "manifestations pathétiques", il est con. Non pas parce qu'il est contre le 'mouvement', ça il en a le droit bien sûr, mais parce qu'il est dans le privé, si ça n'a pas changé. Je suis pratiquement sûre que les réformes n'y sont pas en vigueur, ou que si c'est le cas ils trouveront un moyen de s'arranger. Il ne peut donc pas dire grand chose parce qu'il n'est même pas concerné, il peut même soutenir le gouvernement s'il décide de nous mettre 50 par classe et de supprimer toutes nos options, parce que ça ne le touchera jamais ou peu. "Nos" manifestations sont peut être pathétiques, mais La Provence est pathétique de publier ça.

Dimanche 24 février 2008 à 21:07

La théorie du soir:

Je veux un pancake.
Mon père - Qu'est-ce qu'elle fait elle? Elle mange ça maintenant? Elle mange pas de fruit et après elle mange que de la farine!
Moi - Oui mais c'est pas vrai j'en mange des fruits!
Mon père - Oui bien sûr...
Moi - Ah mais l'avantage c'est que je peux encore le faire moi, parce que j'ai pas les artères qui se bouchent!
Mon père - Justement, faut y penser.
Moi - Ben non, parce que je pense donc je suis. Si j'y pense pas je suis pas donc raison de plus pour en manger, j'existe pas donc j'ai pas les artères qui se bouchent. Moi.
Mon père - T_T

Bon j'avoue je suis fatiguée, et j'aime les pancakes. Recouverts de crème de marron en particulier :)

Jeudi 10 janvier 2008 à 23:13

Alors écoute bien maintenant. Ta répartie j'm'en fous, j'en ai aussi. J'te dis que j'te fais la gueule tu me parles comme si de rien était. Alors ptèt que si je dis ta gueule tu comprendras? Tu me conseilles pas de te chercher ni de te casser? Mais c'est des menaces ça? C'est des menaces? T'as "essayé" de me parler? Tu crois? Vraiment? Mais arrête! J'te dis qu'on en parle demain face à face tes menaces s'envolent! Qu'est-ce qu'il y a? Ta répartie elle est pas si forte? Ah tiens... Maintenant: je sais ce que je dis. Je sais ce que j'ai dit et ce que t'as dit. Ce que tu m'as pas dit aussi. Et tu touches encore un seul de ses cheveux, tu prononces une fois son nom et la répartie viendra de moi. C'est moi qui te menace. "Arrête de me laisser des commentaires comme ça" Mais de toute façon ça sert à rien, tu l'as même pas laissé mon commentaire! T'as même pas eu ce courage putain! C'est ça qui est détestable sur skyblog, personne n'a l'occasion de lire les commentaires avant que le propriétaire du blog ne les aie lus. C'est un bon système quand c'est injurieux. Ca ne l'était pas. J'ai toujours été correcte. Toujours. Je disais ce que je pense. Putain t'as pas laissé ce commentaire, et t'as répondu à un autre par "Elle a trop changé dans le bon sens du terme contrairement à d'autre dont je ne citerai pas le nom...". Mais vas-y dis le! On a changé. T'es devenu insupportable. Je me suis défendue. Elle commence à peine à le faire. C'est toute la différence. Et si tu veux pas parler demain, bah on parlera quand même, histoire de voir ce qu'elle vaut, ta répartie.
Non, tu ne passes jamais par ici. Eh ben tant mieux, ca m'évitera d'avoir à laisser ton commentaire.

Dimanche 16 septembre 2007 à 13:59


C'était... pitoyable. La façon qu'elle a eu de me regarder. De me dire que je la saoulais. De me rappeler que je ne l'ai encore jamais vu et qu'il ne fait pas partie de la famille. C'était tellement pitoyable que j'ai failli sauter par dessus la table pour la frapper. Je la hais. Je sais tout ça. Et elle s'en fout.

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